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Eric Brodhag

En résumé

  • 00:15 Présentation d’Eric  
  • 00:25 Le quizz thé ou café 
  • 01:10 C’est quoi ta plus grosse galère ? 
  • 01:53 Ta galère au quotidien ? 
  • 02:24 Ta galère la plus drôle ?
  • 03:53 Ton meilleur conseil pour par se planter ? 
  • 04:02 Le meilleur conseil que tu as reçu 
  • 04:16 Pourquoi tu nous a dit oui à cette interview ?

Qui est Eric ?

Moi c’est Eric Brodhag, 48 ans. Je suis installé officiellement depuis 1997 en tant que « EURL Brodhag » à Hombourg mais plongé dans l’agriculture depuis tout petit 😇.

J’ai d’abord eu un bac S général, j’ai passé un BTS technologie végétale à 20 ans, puis j’ai été salarié avant de m’installer à mon compte.

Je suis associé avec mon frère, qui s’occupe principalement de la partie financière. De mon côté je me concentre sur toute la partie technique, et nous avons également un salarié.

Ses galères ?

Ma plus grosse galère a été administrative. Obtenir le permis pour la construction de notre silo a été épique ! Nous avons reçu, hors délais, une réponse … négative et sans aucune raison valable. Nous avons donc bataillé auprès de l’administration pour avoir gain de cause. Cela ne s’est pas fait sans douleur mais nous sommes parvenus à avoir notre autorisation plus de 3 mois après.

Ma galère au quotidien, c’est les « toutologues » : ceux qui pensent tout savoir et qui veulent m’apprendre mon métier 🤔. 

Ma galère la plus drôle est assez cocasse ! Nous avons perdu une roue en transportant la coupe de notre moissonneuse jusqu’en Haute-Marne. Impossible de savoir où elle était allée se perdre, jusqu’à ce que l’on croise un voisin qui nous a indiqué avoir vu une roue flotter dans le canal. Nous voilà partis le long des berges à scruter le canal, en croisant les doigts. Par chance elle s’était stoppée au milieu du canal dans un buisson de roseau. Ni une ni deux, construction d’une amarre de fortune avec une sangle trouvée dans le camion qui en un seul coup s’est accrochée à la roue. On a donc réussi à récupérer la roue et faire les caves de Champagne en récompense 😋.

Les tips de Eric 

Le meilleur conseil que je puisse donner à un jeune agriculteur, c’est d’être le patron chez soi.

Mon père, quant à lui, m’a donné un conseil qui dirige ma façon de voir mon exploitation et l’agriculture de manière générale : ne pas être un mouton ! En effet, faire différemment ne veut pas dire faire moins bien.

Son exploitation

75 % de maïs grain

20 % de betterave sucrière

1 ou 2 ha de blé

soit une SAU totale de 250 Ha et 50 ha à une cinquantaine de km.

Nous utilisons depuis longtemps les hybrides Pioneer sur l’exploitation. Cette année nous avons du P9300, du P9610, du P9960 (nouvelle variété que l’on teste), du P9978 et du P9985. On travaille principalement avec des variétés plus précoces que chez mes voisins, pour être bon dans les temps de séchage.

Zoom technique sur…

P9300

Hybride demi-précoce C1, nous l’utilisons depuis plusieurs années, car il présente un pack agronomique qualitatif. Il apporte de la performance dans tous les environnements et potentiels, et cet hybride est améliorant en situation de stress hydrique à floraison et au remplissage.

Pour en savoir plus sur le P9300, c’est ici 👉

L’hybride répondant à vos besoins, c’est par là 🌽 

Que vous cherchiez à gérer une ressource en eau limitée, à vous prémunir d’un stress hydrique potentiel ou que vous visiez simplement la performance maximale, il existe toujours une solution Optimum AQUAmax. Conçus par les sélectionneurs Pioneer pour vous permettre de valoriser chaque goutte d’eau, les maïs Optimum AQUAmax s’adaptent à votre contexte parcellaire pour en tirer le maximum.

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